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Attendons- nous à vivre, les prochaines années ,dansune situation compliquée du commerce international .Si la guerre commerciale devait se confirmer,il est clair que les responsabilités en seraient partagées, même si chaque partie ne manquerait pas alors de les renvoyer sur d’autres.La Présidence américaine serait sans doute à raison accusée d’ avoir allumé l’incendie mais, d’autres, pusillanimes ou maladroits, n’auraient pas su l’éteindre.

Quand viendra l’heure des comptes ,on ne manquera pas de se tourner moins contre le principe du protectionnisme qui à été lui-même mis en oeuvre de façon inappropriée et brutale, qu’à l’encontre d’un président américain, finalement ingérable ;celui-ci, aujourd’hui déjà bien contesté , se sera prêté à un jeu belliqueux et brouillon qui n’a guère servi la nécessaire sérénité qu’exigerait la réforme d’un commerce international bien fragilisé .Le protectionnisme lui-meme ,longtemps Honni et totalement écarté du jeu officiel,ferai un retour en force mais de façon tellement biaisée qu’il risquerait d’entrainer le s ystême à sa perte alors que ,bien circonscrit et maitrisé ,il eût pu apporter sa pierre à l’édifice .

Le protectionnisme avant et après Trump

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Attendons- nous à vivre, les prochaines années ,dansune situation compliquée du commerce international .Si la guerre commerciale devait se confirmer,il est clair que les responsabilités en seraient partagées, même si chaque partie ne manquerait pas alors d

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Auteur(s): Bourguinat, Henri

Editeur: Henri Bourguinat

Année de Publication: 2018

pages: 192

Langue: Français

Edition: 2

Attendons- nous à vivre, les prochaines années ,dansune situation compliquée du commerce international .Si la guerre commerciale devait se confirmer,il est clair que les responsabilités en seraient partagées, même si chaque partie ne manquerait pas alors d

Attendons- nous à vivre, les prochaines années ,dansune situation compliquée du commerce international .Si la guerre commerciale devait se confirmer,il est clair que les responsabilités en seraient partagées, même si chaque partie ne manquerait pas alors de les renvoyer sur d’autres.La Présidence américaine serait sans doute à raison accusée d’ avoir allumé l’incendie mais, d’autres, pusillanimes ou maladroits, n’auraient pas su l’éteindre.

Quand viendra l’heure des comptes ,on ne manquera pas de se tourner moins contre le principe du protectionnisme qui à été lui-même mis en oeuvre de façon inappropriée et brutale, qu’à l’encontre d’un président américain, finalement ingérable ;celui-ci, aujourd’hui déjà bien contesté , se sera prêté à un jeu belliqueux et brouillon qui n’a guère servi la nécessaire sérénité qu’exigerait la réforme d’un commerce international bien fragilisé .Le protectionnisme lui-meme ,longtemps Honni et totalement écarté du jeu officiel,ferai un retour en force mais de façon tellement biaisée qu’il risquerait d’entrainer le s ystême à sa perte alors que ,bien circonscrit et maitrisé ,il eût pu apporter sa pierre à l’édifice .

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